contact | en savoir plus | aide |
CULTURE | Lecture publique

Accueil > Recherche > Notice complète

  • Recherche simple
  • Recherche avancée
  • Modifier la recherche
  • Panier
  • ImprimerVersion écran
  • Historique
  • Première page
  • Page précédente
  • Notice 10 sur 20
  • Page suivante
  • Dernière page

Notice complète

10/20
Maigret à l'école
Auteur :
Simenon, Georges
Sujet :
Roman policier belge de langue française
Langue :
français
Date de publication :
1985
ISBN :
9782258016477
Type de document :
Livres

Faire venir cette édition Faire venir cette édition

Localiser une bibliothèque
Bibliothèque Commune Cote Qté Réservable Lien vers le catalogue source
BRUXELLES - Bibliothèque des Riches-Claires BRUXELLES P-4 SI 515 M 1 oui 02251297539
Adolphe Max - Bruxelles BRUXELLES R-4 SIM M M45 2 oui 02270146611
LAEKEN - Bibliothèque de Laeken LAEKEN 84-3 SIM 0514 1 oui 0237132105X
BDThèque Brand Whitlock - Bruxelles BRUXELLES R-4 SIM M 1 oui 02260062660
IXELLES - Bibliothèque communale francophone IXELLES P-3 SIM 0514 M 1 oui 0293038167X

Il n'y a pas de résumé pour cette notice.

Vous devez créer un compte pour ajouter des commentaires.
Date : 16/04/2012 - 12:28:35 Auteur : aaahhh (via Babelio)

Un joli Maigret où pour une fois ce n'est pas en tant que commissaire mais pendant son temps libre qu'il enquête afin d'innocenter un instituteur de village. Face aux enfants, qui sont les témoins privilégiés de cette affaire, notre Maigret va devoir ruser, car on n'interroge pas un môme comme on le ferait avec un criminel, même si ils sont parfois tout aussi retors...
Consulter sur Babelio

Date : 22/03/2013 - 09:13:09 Auteur : 3delacroix (via Babelio)

J'ai aimé ce livre car c'est un genre policier. Il y a un peu d'action dans les deux premiers chapitres, au moment de l'arrestation de l'instituteur. Un jour, celui-ci arrive à l'école et il voit le directeur mort par terre. Au moment où il appelle la police, la secrétaire arrive et accuse Maurice, l'instituteur, car il avait du sang sur les mains. Il cherche alors à prouver son innocence tout le long de l'histoire.
Consulter sur Babelio

Date : 26/07/2013 - 14:18:59 Auteur : emi13 (via Babelio)

Très bon Maigret, qui pour une fois fait face aux enfants, témoins de cette affaire.
Consulter sur Babelio

Date : 03/11/2014 - 23:33:32 Auteur : dido600 (via Babelio)

Ecrit en 1953 Un instituteur des Charentes s'élude à Paris pour demander l'aide de Maigret : on l'accuse à défaut d'avoir tué Léonie Birard,la veillez punaise et bête noire du village. Maigret décide de prendre un congé de quelques jours et d'accompagner Joseph Gastin qui, arrivé à La Rochelle, est, comme prévu, placé sous mandat d'arrêt, tandis que le commissaire s'installe à Saint-André. La Birard a été tuée d'une balle de carabine, alors qu'elle se tenait dans sa maison proche de l'école à un moment où l'instituteur avait quitté sa classe pour passer un instant à la mairie. Si la vieille femme est abhorrée de tous les habitants qu'elle menaçait et abreuvait d'injures, le maître d'école, lui, venu de Courbevoie où sa femme a eu une aventure connue de tous ( adultère), n'a pas été adopté par le village. , la défiance qui a provoqué son incarcération vient d'un de ses élèves, Marcel Sellier, un garçon sérieux dont le témoignage, récusé par le fils même de l'instituteur, se révélera inventé un mensonge . Par des interrogatoires serrés, Maigret découvrira que Marcel n'a menti que pour couvrir son ami Joseph Rateau qui, plâtré dans sa chambre, d'où il a vue sur la maison de Léonie Birard, s'amuse parfois avec sa carabine. Joseph s'accuse, mais Maigret n'est pas dupe. C'est le père, excédé par les grimaces de la vieille à sa fenêtre, qui a tiré. Un homme , alcoolique a' l'extrême C'est l'histoire de ce roman, George Simenon nous mène a' l'atmosphère d'un petit village où tout le monde se connaît et où l'on devient facilement hostile à l'étranger : s'il faut trouver un coupable, autant que ce soit lui. Quelques souvenirs de l'enfance campagnarde de Maigret se mêlent à sa déception d'arriver au pays des parcs à huîtres à la saison de la morte-eau. Cette excellent roman se dévore goulument et nous tient en haleine jusqu'au dernier chapitre un style très simple avec intensément de citations Un bon classique de littérature policière du milieu du siècle dernier
Consulter sur Babelio

Date : 16/02/2015 - 11:37:14 Auteur : Woland (via Babelio)

Joli titre, n'est-ce pas ? Il recouvre pourtant l'un des romans les plus tristes, les plus désespérés de Simenon. Pour celui-ci néanmoins, je ne parviens pas à écrire "noir" car les enfants qui y sont impliqués y apportent, jusque dans leurs mensonges, une innocence, pour ne pas dire une pureté qui, même si elles ne parviennent ni l'une ni l'autre à égayer le récit - ces enfants-là ne sont pas vraiment heureux : petits ruraux certes mais qui pensent trop - lui insufflent une douceur bénéfique, miséricordieuse. Les adultes sont sots et ne réfléchissent guère aux conséquences : les enfants, eux, se tourmentent à l'idée que, de toutes façons, les conséquences, tôt ou tard, se rappellent à vous. L'action se situe dans un petit village situé non loin, là encore, de la fameuse pointe de L'Aiguillon (Cf. "La Maison du Juge"), St-André-sur-Mer. La "Poison" du coin (comme nous l'eût qualifiée Guitry), Léonie Birard, receveuse en retraite qui, du temps de son activité, n'hésitait pas à conserver par devers elles les lettres qui l'intéressaient, vient de mourir intestat, avec une balle de . 22 long rifle logée dans l'oeil (gauche, je crois : les Anciens n'avaient pas tort, on le voit bien aujourd'hui en diverses occasions Mr.Red , d'appeler ce côté-là "sinister"). Il faut dire que, depuis qu'elle était en retraite, le plus grand plaisir de Léonie était de se poster à sa fenêtre et d'insulter ou de menacer de révélations terribles toutes celles et tous ceux, enfants et adultes, qui passaient devant elle. Faire enrager les autres, selon certains commentaires entendus à son enterrement, elle aimait déjà le faire alors qu'elle était toute petite, avec des tresses, dans la cour de l'école. Vous pensez bien que l'âge n'a pas arrangé les choses ! Demeurée célibataire (on ne se demandera pas pourquoi ), elle était obèse, souffrait d'une pilosité un peu trop visible sur le visage et aimait fort à tirer la langue à qui ne lui plaisait pas quand, encore, elle ne troussait pas carrément ses jupes en se retournant vers l'intéressé pour lui offrir la dantesque vision de son postérieur. En représailles, tout le monde (en particulier les enfants) lançait des ordures dans son jardin ou encore des cadavres de chiens ou de chats morts. Une fois, sa porte (ou son portail) avait été entièrement badigeonnée d'excréments ... Bref, vous imaginez un peu l'ambiance. Mais Léonie Birard, si atroce et si vieille sorcière qu'elle fût, était née à Saint-André-sur-Mer. Du coup, lorsqu'elle meurt de façon si brutale et, qui plus est, assassinée par un tireur d'élite - pour que la balle se loge là où elle allée, il fallait ou un tireur d'élite, ou que le Hasard s'en mêlât - tout le village fait corps pour accuser un homme qui, lui, n'est pas du village, l'instituteur Joseph Gastin, arrivé de Courbevoie avec sa femme et son fils, Jean-Paul, pour enseigner dans la campagne profonde. Né citadin, homme intègre et un peu rigide, Gastin, qui est aussi secrétaire de mairie, s'est mis à dos nombre de personnes en refusant de signer les fameux "certificats de complaisance" qui assurent à la majorité des villageois le versement de diverses allocations. Gastin s'était aussi maintes fois disputé avec Léonie mais enfin, disons que, sur ce point, il était vraiment comme tout le monde à Saint-André et que personne ne considère cela comme une circonstance aggravante. Au début, si l'on excepte le fait qu'il est "étranger" et qu'il est peu "arrangeant", rien pourtant ne l'accable. Sauf la rumeur. Il en profite pour se précipiter à Paris afin de plaider sa cause auprès de Maigret en personne, dont la réputation n'est plus à faire. Et le commissaire qui, en ce début de printemps, rêve d'huîtres et de petit blanc sec, se laisse tenter autant par ces fantasmes culinaires que par la bizarrerie du crime. Il ramène donc Gastin à Saint-André et apprend que Marcel, le fils de l'épicier du coin, affirme désormais formellement avoir vu, le jour du crime et peu après qu'ait résonné le coup de feu qui a tué Léonie, son instituteur sortir de sa cabane à outil, là où se trouvait la carabine 22 de son propre fils, Jean-Paul. Certes, c'est la parole de l'un contre celle de l'autre et le procureur devrait avoir bien du mal à échafauder là-dessus un dossier digne de ce nom. De toutes façons, Maigret le perçoit tout de suite, quelque chose cloche dans cette affaire et si hostiles que se montrent les villageois envers Gastin, ils savent tous qu'il n'est pour rien dans le crime. En fait, et, au départ, cela énerve prodigieusement Maigret, tous, à commencer par Théo, l'adjoint du maire, toujours entre deux verres de vin dès 9 heures du matin, se doutent, à défaut de la connaître avec certitude, l'identité du coupable, du vrai. Mais la solidarité villageoise fait que tous préfèreraient voir Gastin condamné à tort plutôt que de livrer l'un des leurs. Alors, Maigret se met à l'ouvrage. Il mise sur son allure bonasse, à la fois roublarde et pourtant naïve - les gens de Saint-André ignorent après tout que lui aussi est né à la campagne - sur son instinct et sur sa logique. Un puzzle de plus pour lui qui en a résolu de plus complexes. Un puzzle dont, un à un, les pièces s'assemblent pour former un résultat qui attriste autant Maigret que son lecteur. Mais il faut bien aller jusqu'au bout de la démonstration et sauver Gastin. Dommage, seulement, que tant de têtes enfantines foncièrement innocentes aient été impliquées dans l'affaire par l'égoïsme et la mesquinerie de certains adultes ... A mes yeux, "Maigret A L'Ecole" est une pépite précieuse, qui n'a pas sa pareille dans ce que j'ai lu jusqu'ici de Simenon. Un roman "à part", inclassable, où l'enfance prédomine sur tous les plans : c'est le comportement méchant mais enfantin de Léonie qui est à l'origine de son assassinat tout comme c'est la manie, toute puérile, de se déresponsabiliser systématiquement qui conduit l'assassin à la tuer alors qu'il ne cherchait, en réalité, qu'à l'effrayer, comme on fait peur à un vilain mioche qui menace de saboter vos plates-bandes. Et comme toujours, ce désir, conscient ou pas, d'adultes chevronnés d'accomplir mille sottises plus dignes de la cour d'école que de tout autre chose, retombe sur des enfants qui, du coup, vont "grandir" un peu trop brusquement. Léonie Birard ne ressuscitera pas, c'est vrai et l'assassin ira bel et bien en prison pour l'avoir tuée, même si telle n'était pas vraiment sa volonté initiale. Mais ces deux faits sont de peu de poids, finalement, devant l'innocence perdue et les tourments endurés par trois enfants qui, eux, avaient encore l'âge de la cour d'école et de son insouciance. "Maigret A L'Ecole" : surtout, lisez-le. ;o)
Consulter sur Babelio

Il n'y a pas de citation pour cette notice.

Il n'y a pas de suggestion de lecture pour cette notice.

Il n'y a pas de vidéo pour cette notice sur Babelio.

Il n'y a pas de vidéo pour cette notice sur Libfly.

Il n'y a pas d'audio pour cette notice.

Il n'y a pas de mots clés pour cette notice.

  • Première page
  • Page précédente
  • Notice 10 sur 20
  • Page suivante
  • Dernière page