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Bibliothèque | Commune | Cote | Qté | Réservable | Lien vers le catalogue source |
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CHARLEROI - Bibliothèque Principale Provinciale A. Langlois | CHARLEROI | BANDES DESSINEES | 1 | oui | 630002162 |
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Une belle histoire cultissime. Sachant qu'il a été écris au 19e siécle, il faut dire que ce roman n'a pas vieillis ! Bien sur, il n'a plus rien de fantastique et c'est ça qui est incroyable... C'est désormais un roman récent réaliste et scientifique. Il est tout de même loin d'être parfait, les descriptions sont très longue et les énumérations d'espèces rendent la lecture du roman vraiment pas fluide.
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Au tout début... je croyais que jule vernes écrivait des livres... de poésie... d'ancienne philosophie.... mais je me suis rendu compte en lisant 20 milles lieu sous les mers que c'était ca et encore plus... Qu'il y avait de l'action avec ca et de la science fiction ( futuriste ). Ses facons de décrir les paysages et de tout ce qu'il veux nous montrer est bien fait.... Je n'aurais jamais crus aimé un livre aussi agé !!! Et !! C,est pas pour rien qu'il y a une quinzaine de 20 000 lieus sous les mers de différentes éditions ! Dans le fond, c'est une merveilleux livre avec un vobalulaire enrichis.
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j'ai été vraiment déçu de ce livre, que j'ai d'ailleurs arrêté de lire. Trop de descriptions, trop de noms scientifiques font que je n'arrivait pas du tout (mais alors pas du tout) à m'imaginer les scènes et à "plonger" dans l'histoire !!
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1867. Sur les mers du Pacifique, des navires coulent de façon inexpliquée. Les passagers survivants disent avoir vu quelque animal énorme défoncer la coque.
Quel animal terrible a ainsi pu percer la coque d'un navire sans effort, et surtout de façon si nette ? Aucun animal connu n'aurait pu réaliser un tel exploit. Alors, y aurait-il, dans les fonds marins inexplorés, un espèce de monstre marin gigantesque ? Ou alors est-ce que des hommes auraient inventé quelque machine particulière ? Et dans ce dernier cas, comment auraient-ils fait pour construire cette chose à l'abri de tous les regards ? Les gens spéculent, mais nul ne sait. Toujours est-il que cette chose fait du mal, et il faut l'arrêter.
On envoie donc un navire, l'Abraham Lincoln, équipé de toutes les armes possibles et imaginables pour tuer cette bête. À son bord, on retrouve le professeur Aronmax et son fidèle serviteur, Conseil. Le professeur a une connaissance étendue du monde sous-marin, travaillant pour le muséum d'histoire naturelle de Paris. Quant à Conseil, il est expert dans l'art de classer les espèces animales et végétales. À bord on retrouve également Ned Land, un harponneur Canadien réputé excellent, ayant comme mission de tuer la bête.
Après quelques temps à naviguer sur les eaux du Pacifique, l'Abraham Lincoln rencontre enfin la bête. Or, tout ne se déroule pas pour le mieux, et nos trois compagnons se retrouvent à la mer.
C'est alors que Ned land, Conseil et le professeur Aronmax découvreront la clé du mystère en la personne du Capitaine Nemo et son vaisseau, le Nautilus. Le nautilus est un sous-marin hyper performant qui parcourt les océans, à la surface comme dans les fonds sous-marins.
Comme le capitaine Nemo ne souhaite pas que le monde connaisse l'existence de son engin, il fait des trois amis des captifs du Nautilus et les entraîne dans une aventure sous-marine où les découvertes et les péripéties semblent ne jamais vouloir s'épuiser.
Mon commentaire :
Mon Challenge ABC était une excellente occasion pour moi de découvrir Jules Verne, un auteur que j'ai depuis toujours voulu lire à cause de mon goût pour l'aventure et le voyage. Ses livres ont beau ne plus être vraiment au goût du jour, je ne doutais pas un instant que j'allais aimer plonger dans les aventure de ses explorateurs.
J'avais particulièrement hâte de lire Vingt mille lieues sous les mers, parce j'ai toujours été curieuse de savoir ce qui se cachait dans les océans et les mers. Toute petite, quand je voyais des gens faire de la plongée sous-marine à la télévision, j'éprouvais une fascination inexplicable, et me décoller de l'écran eût été mission impossible. Ma première (et à ce jour, seule) plongée en apnée a été une expérience inoubliable et fascinante. J'étais tellement envoûtée par ce que je voyais que je me suis inconsciemment éloignée du bateau. Heureusement, ils ne m'ont pas laissée là !!!
Dans ces cirsconstances vous comprendrez pourquoi j'étais certaine d'aimer Vingt mille lieues sous les mers. Et je ne me suis pas trompée. Les aventures du professeur Aronmax et du capitaine Nemo à travers le monde m'ont fascinée et m'ont fait rêver d'un tel voyage. Et malgré que ce roman ne soit plus tout jeune, j'ai fait beaucoup de découvertes, notamment par rapport à la navigation, la pêche aux perles, les sauvages de la Papouasie Nouvelle-Guinée et l'Antarctique. Mais la liste ne s'arrête pas là. Elle s'allonge encore et encore...
Malheureusement, quelques petites choses m'ont énervée, notamment la tendance de Jules Verne de faire des descriptions de vie sous-marine sans fin. Oui, c'est intéressant jusqu'à un certain point, mais quand cela fait des pages que tu ne lis que des noms de poissons et de mollusques que tu n'as jamais entendu ou vu, ça devient vite lassant. Ces longues descriptions cassaient le rythme du récit et le prolongeait inutilement. À de nombreuses reprises, je me suis surprise à compter le nombre de pages qu'il me restait à lire, ce qui, vous en conviendrez avec moi, n'est pas très bon signe. Une petite déception de ce côté-là, donc, mais de façon globale j'ai beaucoup aimé ce récit. Je compte certainement renouveller l'expérience plus tard avec un autre Jules Verne.
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En 1869, Vingt mille lieues sous les mers met en évidence le paradoxe de l'homme qui veut être libre et indépendant mais qui peut aussi incarner "les effets dramatiques de la science au service du pouvoir" (Eric Weissenberg). Le Capitaine Nemo joue d'ailleurs sa rédemption en sauvant les naufragés de L'Ile mystérieuse. Echoués sans vivres ni outils, ceux-ci doivent utiliser leur intelligence et habileté pour survivre en millieu hostile. De retour en Amérique, ils voudront créer une communauté idéale. Doit-on y voir l'influence de Fourier ? Il n'en reste pas là avec l'utopie : en 1879 dans Les Cinq cent millions de la Begum, la cité France-Ville est un hymne au développement cartésien, au bonheur raisonnable et dépourvu de fantaisie que le méchant prussien veut détruire.
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