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1/1
Fugue américaine : roman
Auteur :
Le Maire, Bruno (1969-....)
Éditeur :
Gallimard
Date de publication :
2023
ISBN :
9782072914034
Type de document :
Livres

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En 1949, Oskar Wertheimer, un étudiant en psychologie, accompagne son frère Franz à Cuba pour assister à un récital donné par Vladimir Horowitz. Oskar est appelé au chevet du pianiste, qui lui raconte son histoire. Dix ans plus tard, Oskar, qui a monté un cabinet à Manhattan, est devenu le médecin et confident d'Horowitz. Franz, également pianiste, sombre peu à peu dans la folie. [Electre]

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Date : 29/04/2023 - 12:27:48 Auteur : evelynedolorian (via Babelio)

Un ministre ne devrait pas dire ça ! Comment peut -on tomber si bas ? Bruno Le Maire se lance t-il dans le porno ? Il faut , pour ça , avoir du talent Nous sommes en plein dans les "trous du cul " Affligeant C'est à se demander s'il a co-écrit son livre avec Marlène Schiappa ! Nous touchons le "fion" A boycotter
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Date : 04/05/2023 - 10:49:04 Auteur : PatriceG (via Babelio)

Il dit que c'est avec sa femme cette histoire de durillon, moi je n'en sais rien, je ne suis pas allé vérifier, même en me payant je ne serais pas allé voir de ce côté là. de cet homme là qu'on a affublé de la casquette de ministre, il faut avouer qu'il est bien retombé sur ses pattes tel le chat après sa branlée mémorable de 2017 où il culmina à 2 et des brouettes pour 100 chez LR, presque au niveau du plancher des vaches ! Je pense qu'il doit avoir une petite bite et un gros toupet pour infantiliser ainsi les gens misant sur leur crédulité : il a dû se tromper de bourses ! Si j'en crois mon petit doigt, je lis quoi : du Moltchaline plutôt que le démon de midi qui semblerait l'accuser .. 6 mai 2023 Je trouve qu'on a tort d'établir un parallèle entre les ministres Schiappa et le Maire à propos de l'érotisme dont ils se disputeraient le bout de gras dans les circonstances actuelles. Schiappa, c'est Marlène, elle me fait plutôt penser - d'abord elle a un penchant sensuel en latence -, à ces japonais qui rompent par un jour de folie et de libations à leur régime sévère au travail et aux convenances, un peu comme on ferait un lâché de putes dans un monde privé de femmes. Elle se libère dans Paris Match en montrant ses charmes de femme qui entend s'assumer, qui sait certainement que la beauté est éphémère et je dois dire qu'elle m'a plutôt amusé à travers cette séquence. Peut-être aussi est-ce un pied de nez à la première ministre coincée pour dérider l'atmosphère ? Pour le Maire l'indécent qui envoie du pruneau à l'Est et qui sollicite les bas instincts français, c'est tout autre chose, d'abord je récuse le mot érotisme pour lui, je dirais plutôt le mot vulgarité le concernant, et deuxièmement cette erreur de goût ne passe pas. Son dégazage inoppurtun et intempestif renvoie à la laideur intérieure de la personne. S'il nourrissait encore quelqu'ambition personnelle quant à la haute marche du pouvoir, c'est mort, il favorise ainsi le rejet !
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Date : 05/05/2023 - 00:28:57 Auteur : KotolineBastacosi (via Babelio)

Bruno le Maire aime la musique classique, joue du piano, est un grand admirateur de Beethoven et de Bach : voilà un bon point pour lui. Son interprète favori est le grand pianiste décédé Horowitz, dont il a lu toutes les biographies du monde, et je suppose qu'il doit en posséder tous les enregistrements Sa passion pour ce pianiste romantique lui a ainsi donné l'envie d'écrire une autre histoire, c'est l'image de marque de notre écrivain, il veut échapper au réel, c'est son droit. Certes, nous lui connaissons sa névrose obsessionnelle de tout réinventer ou de déconstruire. Mais, comme écrivait notre cher Arthur RIMBAUD : Ô saisons ! ô châteaux ! Quelle âme est sans défauts ? Une histoire - UN ROMAN - qui semblait être un récit merveilleux et exemplaire, rare à notre époque, mettant en valeur des virtuoses légendaires (Horowitz, Richter, Rubinstein) que chacun connaît (ou devrait connaître) et dont j'ai d'ailleurs de nombreux enregistrements. Parce que j'aime la musique classique et que je joue du piano. J'étais ainsi candide en croyant me réjouir, et avais choisi de découvrir ce roman, non pas pour lire le Maire dont l'écriture faussement travaillée m'avait déjà fort éloignée de ses opus, mais parce qu'il s'agissait, en l'occurrence, tout simplement de Richter, d'Horowitz et des autres. Néanmoins j'ai été tout de suite ennuyée par des accumulations de noms, d'histoires, de personnes, de détails (Bruno le Maire n'est pas FLAUBERT) sans importance, par des digressions mises pour étoffer un récit. Il y a beaucoup de points de ressemblances avec son ancien opus @Musique Absolue (maigre dithyrambe de quelque 143 pages, sur un fameux chef d'orchestre) notamment des réflexions et développements qui sont, d'ailleurs, de purs truismes, sur l'Allemagne nazi et sur la guerre et ses faits divers et variés D'ailleurs on note aussi beaucoup de phrases écrites en allemand, de même qu'en espagnol. L'auteur s'est opposé à Gallimard qui souhaitait en donner la traduction. Certes nous savons que Monsieur le Maire parle cette langue couramment (pas moi, sauf quelque mots comme tout le monde)…Ainsi peut-on le voir s'exclamer : « Je me suis battu avec Gallimard pour que les mots étrangers ne soient pas traduits. J'aime détruire ma langue par la présence de langues étrangères, comme un venin qui s'introduit dans le français et lui apporte une autre musique.» » Détruisez détruisez, Monsieur le Maire, mais en détruisant votre langue natale, vous détruisez aussi votre bébé-livre. Vous le dénaturez, vous n'aimez pas les grands espaces clairs et limpides. Ainsi vous avez déchaîné les Enfers avec votre petite phrase, non de Vinteuil, vous qui aimez tant Proust et la musique, hélas, votre petit paragraphe sur la jolie dame, a mis le feu aux poudres (d'escampette) et a déclenché les foudres de Zeus et de ses médias, oui, il faut que vous mettiez de l'indécence, même minuscule, dans un ouvrage qui incarnait la décence et l'innocence et peut-être la grandeur. C'est le propre du névrosé obsessionnel, nous enseigne la psychanalyse, le fameux stade sadique anal qui ne s'est pas réglé à l'âge de 5 ans, qui ne veut pas une oeuvre parfaite, et la barbouille et peut-être même l'annihile. Vous l'ignorez assurément et c'est dommage. Mais je vais terminer mon laïus : alors, les deux frères vont assister à la représentation du grand pianiste… que va-t-il donc se passer ? Une fuite à l'anglaise ou une fugue à l'américaine ? J'aurais préféré une suite française. Je retourne à mon Bach.
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Date : 08/05/2023 - 08:48:14 Auteur : Bigmammy (via Babelio)

« Les hommes qui passent leur vie à partir ne fuient rien : ils cherchent le commencement. » J'avais déjà apprécié le style de Bruno le Maire en lisant plusieurs de ses essais politiques, et l'auteur avait pris la peine de me remercier de ma chronique. Aujourd'hui, il « ose » publier un roman déconnecté de toute adhérence politique et la critique lui tombe dessus à propos de passages érotiques … quel scandale : l'amour vu par un homme jeune, vous n'y pensez pas ! (Et, entre nous, on a lu bien pire !!!) Hauts cris ridicules, mal venus, dérisoires … en un mot : minables. Que reproche-t-on à notre ministre des Finances ? Se risquer dans un domaine qui lui serait, par obligation, étranger, celui de la fiction, consacrer un temps personnel à autre chose que son devoir politique ? La plupart du temps, ceux qui crient le plus fort n'ont pas pris la peine de lire au-delà des cinquante premières pages. Mais la controverse a au moins l'avantage de "faire le buzz"... N'y aurait-il pas eu, de la part de l'éditeur, justement une fuite ? Pour ma part, j'ai fait l'effort de tout lire. Et ce fut parfois un effort méritoire … le roman s'apparente en effet à une succession de poupées russes (et ce n'est pas un hasard) : l'histoire d'une famille juive qui fuit l'Allemagne nazie pour les Etats-Unis, la rencontre entre un musicien de génie et un couple de frères, une réflexion désabusée sur la décadence de l'empire occidental. La thèse générale : la révolution spirituelle sournoise actuellement à l'oeuvre, en à peine deux générations et dans une remarquable indifférence, est encore plus efficace que la révolution communiste car elle ne promet rien. Dans le grand manège du monde, l'Asie a pris son tour, c'est elle désormais l'astre central, celui auquel les autres nations gravitent. Nos valeurs glissent sur la pente descendante. Autour de ce concept, la description - stylistiquement talentueuse - de la vie à New York et à La Havane de 1949 à nos jours, à travers le récit du plus jeune des frères Wertheimer, envoyé à son neveu Maxime Lebaudy … Un festival de portraits traités à la sulfateuse, entrecoupé de références culturelles qui sont autant de clins d'oeil au lecteur lettré, des dialogues passant de l'allemand à l'anglais sans note de traduction de bas de page - mais cela ne me gêne pas puisque je suis, comme l'auteur, germaniste. La lecture, ça se mérite. Et surtout, l'évocation d'une longue descente aux enfers : celle de nos valeurs occidentales, la décadence transposée à travers la vie et les tics de deux personnages pas très recommandables : le pianiste virtuose Vladimir Horowitz et Franz Wertheimer, psychiatre qui n'a pas su ou voulu soulager la dépression de son frère aîné, pianiste raté et agent immobilier ruiné. Roman historique, biographie romancée d'un interprète jadis acclamé et aujourd'hui oublié - et de ses contemporains - réflexions philosophiques sur l'amour et la famille, évocation des ravages des régimes totalitaires - nazisme et stalinisme … un peu tout à la fois. Bruno le Maire prépare sans doute sa reconversion dans le royaume des lettres ? Lui seul peut nous donner la réponse.
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Date : 09/05/2023 - 08:26:09 Auteur : Totaro (via Babelio)

J'avais apprécié trois de ses livres : Une répétition avec Carlos Kleiber, Jours de pouvoir et Paul. Trois livres personnels venant du coeur et ou de la mémoire. J'ai abandonné cette Fugue américaine en cours de route. Non pas pour une page de sexe. Quel auteur aujourd'hui n'en met pas une dose pour pimenter et faire vendre ? Mais parce que j'ai trouvé cette fiction inintéressante et mal écrite. Quel besoin, par exemple, de parsemer le texte en permanence de pseudo textes anglais, allemands, espagnols ou latin ? Quel besoin de se noyer dans les détails pour accoucher de 500 pages ? Ceci étant, j'admire cet homme, politique ou pas, capable d'écrire ce livre, même si, éditeur, je ne l'aurais pas édité... Je comprends ce besoin de créer, comme je comprends tous les peintres du dimanche heureux de leurs croutes
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