contact | en savoir plus | aide |
CULTURE | Lecture publique

Accueil > Recherche > Notice complète

  • Recherche simple
  • Recherche avancée
  • Modifier la recherche
  • Panier
  • ImprimerVersion écran
  • Historique
  • Première page
  • Page précédente
  • Notice 3 sur 3
  • Page suivante
  • Dernière page

Notice complète

3/3
La maison à droite de celle de ma grand-mère : roman
Auteur :
Uras, Michaël
Sujet :
Famille
Sardaigne (Italie)
Feel-good book
Langue :
français
Éditeur :
Librairie générale française
Date de publication :
2020
Collection :
livre de poche 35823
ISBN :
9782253262251
Type de document :
Livres

Faire venir cette édition Faire venir cette édition

Localiser une bibliothèque
Bibliothèque Commune Cote Qté Réservable Lien vers le catalogue source
LAEKEN - Bibliothèque de Laeken LAEKEN 84-3 URA 1900 1 oui 02373712243

Notre héros, un jeune traducteur espiègle et rêveur, retourne sur l'île de son enfance, où sa grand-mère est au plus mal. Et, alors qu'il doit rendre un travail sans tarder, soudain, c'est toute la Sardaigne qui le retient : Maria, sa mère, qui n'a jamais vraiment compris pourquoi son fils adoré l'avait quittée, Mario, le père taiseux, l'envahissant oncle Gavino, Manuella, l'épicière du village, dont Giacomo, enfant, était secrètement amoureux, la jolie dottoressa Alessandra, qui s'occupe de sa grand-mère à l'hôpital, Fabrizio, l'ami d'enfance au corps cabossé et au grand cur, et, surtout, le mystérieux Capitaine, figure tutélaire et énigmatique... D'une crique perdue aux ruelles pittoresques que bordent les maisons de couleur, entre une bouchée de dolci et les pastilles miraculeuses du Dr Ignazio, pas de doute, la maison de Giacomo est une île. Mais que va-t-il y découvrir ?Avec ce roman plein d'humour et d'esprit, véritable déclaration d'amour à la Sardaigne, Michaël Uras propose une ode aux joies simples de la vie, le tout porté par une écriture lumineuse.Un vrai petit bonheur de lecture ! RTBF.Un roman délicieux qui porte un regard joyeux sur les livres. Télé 7 jours.

Vous devez créer un compte pour ajouter des commentaires.
Date : 22/12/2017 - 08:45:13 Auteur : sylvaine (via Babelio)

"La maison à droite de celle de ma grand-mère est rouge, celle de gauche est bleue. Celle qui se trouve en face de la porte d'entrée est jaune. La nôtre est verte. Traverser la rue s'est passer par toutes les nuances du spectre." C'est sur ces mots que s'ouvrent le roman de Michaël Uras..Comment y résister ? Il me fallait accompagner Giacomo !. Roman atypique s'il en est. Nonna la grand-mère se meurt à l'hôpital . Giacomo enfourne quelques vêtements dans une valise et lui, l'exilé, quitte Marseille pour rentrer au village . Chaque retour est pour lui comme un tremblement d'âme. Comment, pourquoi donc est il parti ? Comment , pourquoi, pour qui repartir? Bien sur, sur l'île il y a Nonna , sa grand-mère, la complice, la confidente de son enfance, il y a Maria sa mère qui crie , qui hurle, qui claque les portes mais qui l'aime, Mario son père le taiseux, Fabrizio l'Ami d'enfance . Mais à peine arrivé, il "étouffe" . A peine monté sur le bateau du retour il est en manque . Va y comprendre quelque chose ! La Sardaigne ! Quand Giacomo en parle, quand il nous la raconte, larmes et sourires se mêlent. Cela se sent ,cela s'entend il l'aime. Mais derrière la narration plaisante de souvenirs d'enfance se cache le portrait d'un homme blessé par la vie, ni Ismael, ni Capitaine, qui essaye de vivre à défaut de simplement survivre.. Un roman certes plein de tendresse mais aussi plein d'une tristesse diffuse qui vous colle à la peau et à l'âme la dernière page tournée . Un grand merci aux éditions Préludes via NetGalley et bien sur à Michaël Uras pour son amour de la littérature.
Consulter sur Babelio

Date : 09/01/2018 - 09:27:37 Auteur : Albertine22 (via Babelio)

Séduite par la couverture très colorée et la promesse d'un roman " joyeux", ode à la Sardaigne, je n'ai pas hésité à solliciter le dernier roman de Michael Uras. Je l'ai apprécié, mais pas pour les raisons évoquées plus haut. Sur cette île écrasée par le soleil sourd une étrange mélancolie, une tristesse à fleur de peau. Le personnage principal, Giacomo, traducteur de trente-six ans, est installé à Marseille. Il a fui la Sardaigne, une mère envahissante, un père réfugié dans le silence. Il a instauré au fils des années une relation complexe avec sa terre d'origine. Pressé de la quitter, pressé d'y retourner. Il se précipite au début du roman en Sardaigne pour assister aux dernières heures de sa nonna, vieille dame à laquelle il est très attaché. C'est la seule de la famille qui le comprend vraiment. Il a emporté avec lui une version inédite de Moby Dick en cours de traduction. Son employeur le presse pour qu'il termine son travail. Giacomo, lui, se laisse prendre par le rythme insulaire. Il se promène avec le capitaine, vieux militaire, figure légendaire du village, figure tutélaire de son enfance. Il rend visite à sa nonna à l'hôpital, qui s'avère, de jour en jour, de moins en moins à l'article de la mort. Il renoue avec Fabricio, son ami d'enfance, qu'une maladie rare condamne à vieillir prématurément. Il tente une amourette avec Alessandra, un médecin. Ces quelques semaines, suspendues à un décès qui ne survient pas, n'ont rien d'extraordinaire. Pourtant, au travers d'événements en apparence anodins, le lecteur devine que le héros prend du recul sur son métier, sur son couple, en perdition depuis que le malheur s'est abattu sur eux, sur ses premières années d'enfant fragile et sensible.Il lui faudra symboliquement mourir à la fin de cette période sur l'île pour espérer renaître. Une histoire à la mélancolie ensoleillée
Consulter sur Babelio

Date : 09/01/2018 - 16:08:00 Auteur : Felina (via Babelio)

Michaël Uras est l'auteur du roman "Aux petits mots les grands remèdes", paru à la rentrée littéraire - j'allais dire de l'année dernière, mais non... - 2016. Cet ode à la Sardaigne est tentant, mais qu'en est-il réellement? Dès la couverture, le récit de Michaël Uras est lumineux et coloré, même si la raison du retour du héros est bien triste. Giacomo est rappelé au chevet de Nonna, sa grand-mère qui se meurt à l'hôpital. Il quitte donc Marseille pour revenir sur son île natale. Pourquoi s'est-il exilé de cet lieu arc-en-ciel qu'il aime par dessus tout? Il y a sa mère qui crie tout le temps mais qui l'adore, son père le taiseux, son ami d'enfance, Mais dès qu'il pose le pied à terre, l'oppression revient, galopante. A peine est-il repartit que le manque se fait sentir. Je t'aime, moi non plus. L'auteur, au travers de détails anodins, dépeint la vie insulaire que mène Giacomo en attendant - c'est bien triste de le dire - le décès de sa tendre Nonna. Il y a les promenades sur le port, les visites à l'hôpital, les discussions avec Fabrizio, condamné à vieillir prématurément, sur la lenteur de la vie qui s'écoule loin du tumulte de la vie moderne. Un retour, pour un instant en enfance, en vacances. Michaël Uras rend, dans ce paysage écrasé par le soleil, chaque personnage attachant, même le plus secondaire d'entre eux, et c'est avec plaisir que le lecteur vagabonde et papillonne d'une scène à l'autre, d'une émotion à l'autre. Comme s'il savourait un bonbon à l'anis, le laissant fondre doucement sur sa langue. Giacomo, dans son incertitude et sa quête est touchant et attachant. C'est un rêveur, qui s'échappe grâce à sa solitude, mais qui du coup heurte souvent les gens à travers son attitude détachée. Un autre élément qui fait que le lecteur appréciera encore plus cette lecture, est le métier de Giacomo. Il est traducteur, il aime la lecture avec passion. Au moment de son escapade en Sardaigne, il travaille sur une traduction de Moby Dick d'Herman Melville. Quelques titres intéressants sont d'ailleurs cités...
Consulter sur Babelio

Date : 23/01/2018 - 19:12:26 Auteur : Jeneen (via Babelio)

Un très beau livre, sur la nostalgie, les souvenirs, le temps qui passe, la vie sur une île (la Sardaigne). Un livre pas très joyeux, contrairement à ce que laissait penser la couverture colorée et le résumé, mais qui aborde des thèmes profonds, mélancoliques. C'est surtout le récit d'un retour qui se veut provisoire, car la grand mère du héros, qu'il aime particulièrement, se meure. D'un retour dans une famille où les non dits et l'incompréhension sont lourds. Un livre qui aborde aussi la traduction, puisque c'est le métier du héros, métier qu'il peine à exercer dans cette ambiance comme suspendue dans le temps, dans l'attente d'un décès qui finalement s'éloigne de jour en jour. Une fin pas très joyeuse non plus mais cohérente. En bref, un beau livre bien écrit, sur la famille, l'enfance, le temps qui passe. Pas de grands évènements dans ce livre, juste des instantanés de vie, qui apporte malgré tout une certaine sérénité à la lecture. Un bon moment de lecture.
Consulter sur Babelio

Date : 07/02/2018 - 17:18:01 Auteur : Heleniah (via Babelio)

Giacomo est traducteur. Natif de Sardaigne, il retourne sur son île natale car sa grand-mère n'en a plus pour longtemps. Dans ses bagages, une version inédite de Moby Dick qu'il doit traduire de toute urgence. Mais l'île et ses habitants, ses parents, mère envahissante, père taiseux, le Capitaine, militaire à la retraite mystérieux, Fabrizio son ami d'enfance, Manuella l'épicière dont il était amoureux étant enfant, Alessandra, la médecin qui s'occupe de sa grand-mère, le retiennent tour à tour. J'avais lu il y a quelques temps Aux petits mots les grands remèdes, que j'avais bien aimé et si je me souviens de l'histoire, il a tout de même fallu que je relise les premières lignes pour me la remettre en tête. Donc ça avait été sympa, mais pas inoubliable. Ce roman est une jolie galerie de personnages, une ode à la Sardaigne et un hommage à Moby Dick. Pourtant, j'ai trouvé que l'intrigue n'était pas assez dynamique pour nous donner envie de tourner les pages. Car s'il y a les fils conducteurs tout au long du roman : la grand-mère, le livre a traduire, l'amour perdu ; il n'y a pas de suspens ou véritablement quelque chose à résoudre qu'on aurait envie de découvrir. J'ai eu du coup un peu de mal à adhérer aux personnages. Quant à l'effet feel good du roman, je l'ai trouvé moins présent dans le texte que sur la couverture ! Certains passages sont teintés d'une mélancolie, voir d'une tristesse qui reste présente dans tout le texte. Je ne dirais pas que je n'ai pas aimé, mais j'ai été un peu déçue, je m'attendais à un texte léger, plein d'entrain, ce n'était pas le cas. Ceci dit, certains passages sont vraiment intéressants, notamment sur la traduction et Moby Dick, d'autres sont drôles (il y en a quand même!), ce livre pourrait malgré tout vous plaire si vous aimez ce style-là ! Vous pensez le lire ?
Consulter sur Babelio

Il n'y a pas de citation pour cette notice.

Il n'y a pas de suggestion de lecture pour cette notice.

Il n'y a pas de vidéo pour cette notice sur Babelio.

Il n'y a pas de vidéo pour cette notice sur Libfly.

Il n'y a pas d'audio pour cette notice.

Il n'y a pas de mots clés pour cette notice.

  • Première page
  • Page précédente
  • Notice 3 sur 3
  • Page suivante
  • Dernière page