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1/3
Le bossu
Auteur :
Féval, Paul 1816-1887
Langue :
français
Date de publication :
1995
Collection :
J'ai lu les classiques
ISBN :
9782277232964
Type de document :
Livres

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OUPEYE - Bibliothèque locale d'Oupeye OUPEYE 82-3 FEV 1 oui 4680100011426
BOUSSU - Bibliothèque communale de Boussu BOUSSU A82-31 FEV0 1 oui 19017

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Date : 28/02/2009 - 11:59:58 Auteur : annie (via Babelio)

souvenir de lecture... de jeunesse... que de bons moments passés entre Dumas, Féval et Zévaco... qui m'ont donné finalement la passion de l'histoire. En fait, je pense "au bossu" à cause de la crise financière... qu'il aborde dans un chapitre avec le système de Law : En 1715, l'année de la mort de Louis XIV, Law revient en France pour offrir ses services en tant qu'économiste à Philippe d'Orléans. La situation financière du pays était dramatique. La dette de l'État français était énorme, car l'ancien roi avait énormément dépensé dans les guerres et les constructions, de plus quelques dizaines de financiers s'étaient énormément enrichis au dépens du royaume et étaient toujours à l'affût de quelques bonnes affaires. Les ministres et les personnalités influentes ne proposaient que des solutions de replâtrage. Le régent se décide alors à suivre les audacieuses théories de Law qui semblent lui permettre de régler le problème de l'endettement et de relancer vigoureusement l'activité économique du pays. John Law est autorisé à créer en 1716 la Banque générale et à émettre du papier-monnaie contre de l'or. Le régent, lui-même participe à la souscription des actions de la nouvelle banque, cependant, il ne s'agissait pas d'une banque foncière mais d'une banque ordinaire sur le modèle hollandais qui échange des dépôts de monnaie métallique contre des billets sans même prendre de courtage, les bénéfices étant faits grâce au change et aux opérations d'escompte. Le succès fut rapidement au rendez-vous car la monnaie émise était plus pratique pour les négociants et la banque commença à accroître le volume de ses émissions, émettant plus de papier-monnaie qu'elle n'avait réellement d'or et d'argent en dépôt. À ce niveau la création monétaire était garantie par divers revenus que la banque pouvait s'assurer grâce à l'appui du Régent. En 1717, pour se lancer lui-même dans le grand commerce avec l'Outremer, John Law crée la Compagnie d'Occident, après avoir racheté la Compagnie du Mississippi, créée en 1713 par le financier Antoine Crozat et responsable de la mise en valeur de la grande Louisiane française. Une vaste opération de propagande en faveur de la colonisation est lancée. John Law fait valoir auprès du grand public qu'il a lui-même investi dans un immense domaine en Louisiane, juste pour donner confiance car il n'a jamais eu l'intention de développer quoi que ce soit là-bas. En 1718, la Banque générale devient Banque Royale, garantie par le roi. En 1719, la Compagnie d'Occident absorbe d'autres compagnies coloniales françaises, dont la Compagnie du Sénégal, la Compagnie de Chine et la Compagnie française des Indes orientales, et devient la Compagnie perpétuelle des Indes. La nouvelle compagnie dispose d'une souveraineté de fait sur le port de Lorient qui connaît alors une activité commerciale sans précédent. Toujours en 1719, la Compagnie renégocie pour le compte du royaume la multitude de rentes dont il est redevable qu'elle obtient aux meilleurs taux. Elle offre au royaume de lui prêter 1 200 millions de livres nécessaires à cette vaste opération de rachat, contre une annuité égale à 3 % du total. Quant aux règlements, ils se font en billets de banques. Les nouvelles souscriptions sont très bien accueillies alors que les nouveaux billets ont une valeur supérieure à leur équivalent en monnaie métallique, ce qui engendre un début d'inflation cachée par l'appréciation des billets-papier. Seuls les plus importants possesseurs de ces billets commencent à avoir des craintes. En août 1719, la compagnie obtient de l'État le privilège de percevoir les impôts indirects et celui de la fabrication de la monnaie. En 1720, la Banque royale et la Compagnie perpétuelle des Indes fusionnent et John Law en est nommé Contrôleur général des finances le 5 janvier, puis surintendant général des Finances. Ce mois-là, plus d'un milliard de livres de billets de banque sont émis et le capital de la banque se monte à 322 millions de livres. Cependant la fin du système Law est proche ; les ennemis de John Law — parmi eux se trouvent le duc de Bourbon et le prince de Conti — poussent à une spéculation à la hausse dans le but de faire effondrer le système. Le prix des actions passe de 500 livres à 20 000 livres. Puis certains des plus gros possesseurs de billets commencent à demander à réaliser leurs avoirs en pièces d'or et d'argent, ce qui fait immédiatement écrouler la confiance dans le système. Dès le 24 mars, c'est la banqueroute du système de Law. Les actionnaires se présentent en masse pour échanger le papier-monnaie contre des espèces métalliques que la société ne possède plus. Plus personne n'a confiance ; il s'ensuit une grave crise économique en France et en Europe. source : wikipédia
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Date : 09/09/2010 - 16:31:56 Auteur : Colinette26 (via Babelio)

«Le Bossu» est un des rares livres que j'ai lu, après avoir vu le film mythique avec Jean Marais. Je me suis laissée tout de même entrainée avec passion dans cette histoire pleine de rebondissements. C'est curieusement une sensation physique qui me reste de cette lecture, les frissons que j'éprouvais à certains moments critiques et qu'il me fallait refermer mon livre parce-que ma mère m'appelait... Paul Féval est un feuilletoniste de talent et je suis parfois étonnée qu'il soit si peu lu aujourd'hui. Mais peut-être est-ce que je me trompe. L'impression de ce roman est si forte que je crois que je vais le relire d'ici peu. Je pourrai alors comparer mes impression d'alors avec celle d'aujourd'hui.
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Date : 21/09/2011 - 21:27:31 Auteur : petitchap (via Babelio)

Le chevalier de Lagardère sauve Aurore de Nevers et l'élève dans le secret pendant près de 20 ans. Il devra venger la mort de Philippe de Nevers, le père d'Aurore, et déjouer les intrigues de Gonzague, véritable assassin de Nevers. Un vrai roman de cape et d'épée, avec plein d'intrigues, de l'action, de l'humour, de l'héroïsme... et la très fameuse botte de Nevers...! Les personnages secondaires sont absolument jubilatoires. Un roman absolument flamboyant, capédédiou !
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Date : 11/04/2012 - 20:40:29 Auteur : camo77 (via Babelio)

Surprenant! En lisant ce classique je m'attendais à quelque chose d'assez ennuyeux mais en fait j'ai vraiment été captivée au fil des pages à mon plus grand étonnement. Je le conseille vivement. Ce serait dommage de rater ça...
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Date : 24/04/2012 - 14:04:43 Auteur : nekomusume (via Babelio)

Un pavé de lecture : tous les livres concernant Lagardère sont là, de sa jeunesse à sa mort ; papier ultrafin, police serrée… il faut dire que Paul Féval écrivait à la feuille ; et que son fils a continué son oeuvre. Et ils les ont bien remplies, de rebondissements en péripéties, il n'y a pas un seul temps mort dans la vie du chevalier. Qu'il s'agisse de la partie bien connue grâce à Jean Marais ou de son enfance, le destin de cet homme a été extraordinaire. Flanqué de ses deux acolytes qui lui ont servi de maitre d'armes, il sera toujours un défenseur du bon droit et de l'honneur. Rangés dans l'ordre chronologique du roman, il est impossible de lâcher ces aventures. Un des meilleurs romans de cape et d'épée que je n'ai jamais lu.
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