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| NAMUR (*) - Bibliothèques de Namur Capitale | NAMUR | A PISCINE | 1 | oui | 2607631 |
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C'est un recueil de petites tranches de vie d'un adolescent dans les années 60. Une des distractions principales de cette cité était la piscine justement. Entre la drague, les booms et l'alcool, il n'y a pas grand chose. Je n'ai vraiment pas accroché aux anecdotes d'un autre temps.
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Histoire attendrissante, un poil de nostalgie heureuse et toujours ce dessin audacieux et si juste.
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Baru à ses débuts, mais déjà complètement moderne dans ses histoires et ses dialogues, et tranchant dans son graphisme. A recommander, comme tout Baru d'ailleurs !
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En dépeignant, dans son style direct et sans recherche d'effet particulier, une jeunesse avide de filles, de musique et de sensation, qui souhaite exister et se rassurer... Baru nous montre quelque chose d'intemporel. Même s'il situe l'action en Lorraine en 1985, les thèmes abordés sont universels.
La drague, la taille de son sexe, les postures, les bagnoles, les surboums... "l'éternel masculin" en quelque sorte (d'avant Weinstein...).
Mais en ajoutant une postface nous montrant ce que tout cela est devenu. Ce qu'il en est de la piscine de Micheville... Baru nous montre la décrépitude d'une région, un horizon bouché pour une jeunesse pour laquelle les Golden 60's sont bien loin.
Nostalgique, émouvante, désabusée, pleine d'humour, cette BD a touché une corde sensible chez moi. Car Baru le fait de manière simple, avec ses pinceaux et ses mots.
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Comme l'explique Baru dans le DVD du coffret, si "Quéquette blues" est son premier album, apporté complètement clé en main à l'éditeur, "La piscine de Micheville" fut sa première oeuvre parue. En effet, Dargaud n'a pas souhaité prendre le risque de publier de suite l'album complet d'un auteur inconnu et demanda à Baru quelques nouvelles à éditer au préalable. Voici donc "La piscine de Micheville" qui nous replonge dans le même univers lorrain de la mine, découvert dans Quéquette Blues. C'est ici une sucession de petites scènes intimistes qui prennent place à la piscine de la ville, construite grace à l'argent des aciéries, ou ailleurs. Le contexte social est toujours aussi noir. Les jeunes partent peu en vacances et la piscine est un de leurs rares loisirs, quand leurs parents ne les envoient pas en colonie de vacances. On y retrouve Baru et ses potes, leur obsession première : coucher avec des filles. Ils rêvent, ils draguent les gonzesses, font les 400 coups alors que les usines menacent de fermer. Beaucoup plus anecdotiques à mon sens que Quéquette blues, ces petits récits manquent un peu d'ampleur à mon sens pour en garder une impression forte. Néanmoins sympathique, l'album se laisse lire avec plaisir. Une bonne introduction à l'auteur mais certainement pas suffisante pour découvrir la force de la narration de Baru.
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